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Cela donne à Delphine
Lebensart l'idée d'une collection : celle des "
Plaidoiries imaginaires " qui consiste à défendre
un auteur comme s'il était accusé aux assises.
Le texte est écrit par un avocat qui construit une
plaidoirie littéraire. L'éloquence, mais aussi
l'érudition et la recherche sont les maîtres
mots de cette collection. Elle a pour but non pas de prendre
la défense d'auteurs mal perçus, mais plutôt
de rendre hommage à certains écrivains. Ce fut
le début de la maison. Comme ce livre a bien marché,
il a tout de suite autofinancé les frais de fabrication
et les droits d'auteur. Les deux éditeurs ont ainsi
gagné assez d'argent pour faire le second et ce jusqu'à
maintenant, c'est-à-dire une soixante-dizaine de titres.
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